dommage….
« Comme de longs echos » Elena Piacentini
Partout, les monstres sont chez eux… . Vincent Dussart est sûr de son coup. Ce break imposé par sa femme va prendre fin aujourd’hui. Il n’a rien laissé au hasard. Comme toujours. Confiant, il pénètre dans la maison de son épouse. Le silence l’accueille. Il monte les escaliers. Puis un cri déchire l’espace. Ce hurlement, c’est le sien. Branle-bas de combat à la DIPJ de Lille. Un mari en état de choc, une épouse assassinée et leur bébé de quelques mois, introuvable. Les heures qui suivent cette disparition sont cruciales. Le chef de groupe Lazaret et le capitaine Mathilde Sénéchal le savent. Malgré ses propres fêlures, ou peut-être à cause d’elles, Sénéchal n’est jamais aussi brillante que sous la pression de l’urgence. Son équipe s’attend à tout, surtout au pire. À des milliers de kilomètres, un homme tourne en rond dans son salon. L’écran de son ordinateur affiche les premiers éléments de l’affaire. Ce fait divers vient de réveiller de douloureux échos…
Un début prometteur,qui se confirme jusqu’à la page 211(sur 282),impossible de lâcher le livre….mais à partir de là… »Svetlana Eckert s’est absentée de son corps..urne funéraire déposée au pied de la statue d’Osiris… »
Je me suis absentée également,en esprit,du livre:je n’ai rien compris des 70 dernières pages…….
Énorme déception…
Mais lisez le,peut être pourrez vous m’éclairer…